le 13 novembre 2007 à 9:04Francky (l’ancien) à L.A.

Franck Leboeuf vit à Los Angeles où il est « joueur entraineur » dans la très people « Hollywood United FC ». Dernier match en date un 10-4 prit contre les LA Galaxy de Beckham mais Francky s’est éclaté, il a même mit deux des quatres buts de son équipe.

Interview lu dans foot interview, je n’ai pas pu m’empêcher de vous en copier une partie ici même.

Franck, ton équipe, le Hollywood United FC, a rencontré les LA Galaxy la semaine dernière. T’as couru un peu ?
Oui, j’étais sur le terrain pendant une période, au milieu. J’ai même marqué deux buts mais on s’est fait largement battre (10-4). Et vu que je suis joueur-entraîneur, j’ai fait en sorte que toutes les célébrités puissent participer à la rencontre. C’était pour la bonne cause, on a récolté un peu d’argent en faveur des sinistrés des incendies.

Et alors, tu fais quoi de ta retraite ?
Tout d’abord, je travaille pour ESPN en tant qu’analyste du football. Et puis je suis en train d’écrire un script avec un copain depuis un an. Je fais un peu de cinéma aussi pour m’éclater. J’ai tourné dans un film mais je ne sais même pas son titre. Et dans pas longtemps, je vais partir une semaine à Bali ! C’est tous frais payés et j’y vais même avec des potes ! (Il se marre).

Le ciné, c’est une passion ?
J’adore le cinéma, ça m’a toujours fait rêver. J’ai pris des cours pendant une année, à l’Actors Studio. On m’a proposé des rôles mais ça me faisait chier. Par contre, j’ai toujours adoré l’écriture. A l’époque en Angleterre, j’avais ma chronique dans le Times. C’est pourquoi j’ai donc eu cette idée d’écrire un film. Il est également possible de me voir à la production bientôt.

C’est ton petit rêve américain…
Le cinéma, c’est pour ça que je suis venu ici, sans bruit, pour démarrer une nouvelle carrière. J’adore voir comment les films se déroulent. Je suis capable de rester toute la journée avec Anthony LaPaglia sur le plateau de « FBI : portés disparus ». Les Etats-Unis, je rêvais déjà d’y vivre, et maintenant, je m’éclate. Voilà, c’est mon challenge. D’autres ont choisi commentateur sportif. (Il rigole).

Pour en revenir au foot, et à tes anciens coéquipiers champions du monde, tu penses quoi de leur reconversion dans la télé ?
J’en ai parlé dernièrement avec Dugarry. Lui est meilleur que les autres parce qu’il dit ce qu’il pense ! Il est honnête ! Et ça ne m’étonne pas car lorsqu’il était joueur, il n’hésitait pas à balancer déjà. Il peut se regarder dans un miroir, lui. En 2006, on était réuni sur M6 et c’était un régal. Christophe crève l’écran en donnant de l’émotion aux téléspectateurs. Il a vraiment un gift, comme on dit en anglais. (Il ne trouve pas le mot). Merde, je ne sais plus comment le dire en français…

Il a un don…
Oui voilà, désolé. C’est grave, je perds ma langue natale

©foot-interview