Ah, qu’il est dur pour un financier d’investir dans le sport ! C’est l’amère expérience que vient de vivre Walter Butler, un des actionnaires principaux du PSG.
Plombé par les mauvais résultats sportifs, le bilan était de plus noirci par une entente de moins en moins cordiale entre Colony – l’autre gros actionnaire – et Butler. Butler a alors décidé de revendre ses parts, n’en gardant que 5%, à Colony, désormais seul maître à bord (les détails ici).
L’occasion pour Walter Butler d’un bon mot - malgré lui très probablement – rapporté par Le Parisien (du 11/1) et relayé par le Canard Enchaîné (du 16/1) : Ce que je n’appéhendais pas en achetant le PSG, c’est l’anxiété que peut ressentir un dirigeant ou un actionnaire. A chaque fois que l’on prend un but, j’ai l’impression d’aller moi-même chercher le ballon au fond des filets. »
Sur qu’avec le club parisien, Butler a été servi ! Et le Canard Enchaîné de commenter : « ramasser les jetons de présence, c’est quand même un sport moins dangereux« .
Il va falloir vous y faire, messieurs les financiers, la baballe ne tourne pas toujours dans le bon sens !
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