La trêve internationale a été chargée. La sélection a remporté ses deux matchs, avec en lumière plusieurs joueurs du Steaua. Paul Papp tout d’abord, qui offre la victoire aux siens grâce à un doublé capital contre l’Irlande du Nord. Claudiu Keşerü ensuite, avec un doublé également lors de l’amical contre le Danemark. Deux matchs marqués par un homme, Lucian Sânmărtean, qui a guidé l’équipe avec brio. Suite à ces rencontres, Papp, prêté par le Chievo, a signé un contrat sur cinq ans avec le Steaua. Seul bémol, la légère blessure de Cristian Tănase, qui pourra néanmoins jouer ce soir contre Braşov.
Autre affaire, celle concernant la suspension de Gabriel Mureşan. Pour son coup de coude sur Rusescu, lors de la victoire de Târgu-Mureş sur le champion, l’ancien milieu défensif du CFR Cluj avait reçu une suspension exemplaire de 16 journées. Une suspension annulée par la commission d’appel de la FRF. Selon le règlement, Mureşan n’ayant reçu qu’un carton jaune suite à ce geste, aucune suspension ne peut être dictée contre lui. Le voilà donc libre de rejouer dès ce week-end, à la plus grande fureur des dirigeants bucarestois, qui ont saisi le TAS. Rusescu, qui se remet de son opération, ne sait lui toujours pas quand il pourra revenir s’entraîner et a décidé de poursuivre son Mureşan au civil. On n’a donc pas fini d’entendre parler de cette affaire.
Dernière affaire – et non des moindres! – la disparition du CFR Cluj. En 2012, le club transylvain réalisait sa plus belle aventure européenne couronnée par une victoire à Old Trafford face à un Manchester United déjà qualifié. Malgré celà, le club était éliminé de la Ligue des Champions, à la différence de buts. Le club, qui avait joué à quitte ou double, perdait tout. Démobilisée en championnat, l’équipe, qui misait tout sur la qualification aux 16e de finale, finissait la saison à une modeste 9e place. Absent de la scène européenne la saison dernière, le club voit son dirigeant Paszkany freiner ses investissements. Sixième du championnat la saison dernière, le club est rapidement éliminé d’Europa League cet été. Une élimination qui semble sceller son sort. Fatigué d’investir sans résultat probant – ah, cette fâcheuse habitude roumaine de vouloir tout, tout de suite – Paszkany souhaite céder le club. Problème, ce dernier compte beaucoup de retards de paiement, des salaires en premier lieu, et accuse un déficit de 5 millions d’euros. Une situation qui a fait tourner les talons aux éventuels repreneurs. La semaine dernière, la direction a annoncé aux joueurs qu’ils étaient libres de se trouver un nouveau club. C’est une première au pays: le CFR ne terminerait pas la saison! Le discours a ensuite sensiblement évolué, ces mêmes dirigeants annonçant lors d’un entraînement ouvert au public que rien de cela n’allait arriver. Reste à avoir quelle sera la saignée dans l’effectif cet hiver. Et si le CFR sera présent la saison prochaine. Ce sera quoi qu’il en soit sans Vasile Miriuţă, qui va présenter sa démission ce week-end et retourner en Hongrie, où il devrait signer à Györ, vice-champion en titre.
FC Viitorul | 2:2 | Concordia Chiajna | Fl. Tănase (23′), Mitrea (pen. 44′) / Dina (76′), Florea (91′) |
Gaz Metan Mediaş | 1:2 | Dinamo | Tahar (4′) / Mansaly (21′), Bilinski (54′) |
Astra Giurgiu | 1:1 | U Cluj | Bukari (56′) / Lemnaru (pen. 67′) |
Ceahlăul Piatra Neamţ | 0:1 | Oţelul Galaţi | Cr. Cristea (56′) |
Steaua | 2:0 | FC Braşov | Adi Popa (46′), Chipciu (79′) |
Pandurii Târgu Jiu | 1:2 | FC Botoşani | Erico Da Silva (50′) / Batin (30′), Vaşvari (pen. 85′) |
CFR Cluj | 4:0 | CSMS Iaşi | Ivanovski (6′, 79′), Tadé (67′), Jazvic (81′) |
Petrolul Ploieşti | 2:0 | Târgu-Mureş | Albin (16′), G. Alves (21′) |
CS U Craiova | 2:0 | Rapid | Brandan (43′), Bawab (93′) |
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Le Viitorul a raté le coche. Après sa belle victoire sur le terrain du Dinamo, le club de Hagi continue d’afficher des résultats très moyens sur son terrain. Chiajna, qui jouait également à domicile, les deux équipes utilisant le même stade, commence fort le match avec une occasion de Wellington, mais surtout un très beau coup-franc d’Henrique superbement sorti par Buzbuchi. Malheureusement pour les visiteurs, ces deux actions seront les seules de la première période. Quelques minutes plus tard, le Viitorul ouvre le score sur corner, Tanase se retrouvant bien seul dans la surface. Juste avant la pause, Markus est fauché dans cette même surface. Le penalty est transformé sans trembler par le spécialiste maison, Mitrea, qui marque son 9e but de la saison. L’affaire semble entendue, d’autant plus que la seconde période part sur les mêmes bases, avec un Viitorul tout près de marquer un troisième but. C’est alors que Sumudica, en tribune car suspendu, sort ses deux attaquants, Wellington et Pena, remplacés par Dina et Daniel Florea (rien à voir avec l’ancien du Shakhtar Donetsk). Excellente inspiration, puisque ce sont eux deux qui vont marquer pour Chiajna. La défense du Viitorul retombe dans ses travers habituels (attentisme, manque d’agressivité sur le porteur de balle par peur de faire faute). Dina puis Florea en profitent, le dernier nommé marquant dans les arrêts de jeu un joli but. Le Viitorul aligne ainsi un 6e match consécutif sans défaite mais perd deux points ô combien importants dans la lutte au maintien.
Enfin une victoire! Après deux défaites, face au Steaua et au Viitorul, lors desquelles il a encaissé trois buts à chaque fois, le Dinamo retrouve le chemin de la victoire. Le match commence pourtant bien mal. D’entrée de jeu, Cordos dégage mal un centre adverse et l’Algérien Aymen Tahar en profite pour marquer un but plus qu’opportuniste. Heureusement pour eux, la défense adverse est tout aussi à la rue. Mansaly profite ainsi d’une bonne passe de Matei pour se retrouver seul face au gardien et égaliser à bout portant. On remet ça deux minutes plus tard à peine. Sur une contre -attaque, Elton se retrouve lui aussi seul devant Razvan Plesca, mais ce dernier sauve les siens en détournant le tir en corner. Premier raté d’une belle série. 0 la 41e, c’est l’arbitre, pourtant le très bon Alexandru Tudor, qui ne siffle pas penalty après qu’un centre du Gaz Metan ait été dévié de la main par Nedelcearu. Les visiteurs ne baissent pas les bras, et Llullaku passe tout près de marquer juste avant la pause. Tîrnovan rate lui aussi une occasion à la reprise, avant que Bilinski ne réussisse à donner l’avantage au Dinamo. Les deux équipes rateront ensuite encore plusieurs occasions. Marc sauve notamment miraculeusement le Dinamo devant Florin Dan. En fin de match, alors que son équipe est réduite à dix après l’expulsion de Grecu, Marius Alexe voit le montant repousser son tir. Au final, Ionel Danciulescu, arrivé cete semaine sur le banc du Dinamo, commence avec une victoire qui fait du bien.
Après une sévère défaite (0-3) à domicile face au Petrolul, l’U Cluj enchaînait avec un difficile déplacement à Giurgiu. De manière surprenante, ce sont les Transylvains qui prennent les choses en main. Mengolo déroute la défense adverse par sa vitesse et offre la première occasion du match à Lemnaru, qui bute sur Lung Jr. C’est ensuite Gravenberch qui tire, mais sur la transversale. L’Astra, à qui Fatai manque toujours autant, ne se procure aucune réelle occasion et peut souffler en rejoignant les vestiaires sur ce score de 0-0. Les locaux reprennent le match dans de meilleures dispositions. Après un petit cafouillage, Budescu tire de loin. Panagopoulos se détend bien pour repousser le ballon… dans les pieds de Bukari. Oublié par la défense, ce dernier n’a plus qu’à pousser le ballon dans le but pour ouvrir le score. Mais l’avantage ne dure pas longtemps. Dix minutes plus tard, Lung fait faute sur Cristocea dans la surface. Penalty et carton jaune, pour une faute finalement pas si évidente au ralenti. Lemnaru, revenu de son vrai-faux passage au Steaua, le transforme et marque ainsi son premier but de la saison. Un but qui coupe les jambes des locaux. L’U Cluj pousse et obtient un quart d’heure plus tard un nouveau penalty, celui-ci indiscutable, pour une faute de Pliatsikas surpris par la vitesse de Mengolo. Lemnaru ne se sent pas de le tirer et c’est Nicolae Musat qui s’y colle, mais le latéral gauche voit son tir repoussé par le poteau de Lung. L’U Cluj vient de laisser passer une occasion unique de s’imposer. La fin de match est un peu folle. De Amorim prend tout d’abord un second carton jaune et est expulsé. A 10 contre 11, l’Astra s’offre la dernière occasion du match, avec un puissant tir de Bukari qui s’écrase sur la barre puis rebondit juste devant la ligne de Panagopoulos. Les deux équipes se quittent sur un match nul. L’expulsion directe de Florescu pour un sale tacle n’y changera rien. L’Astra peut déjà dire adieu ses rêves de titre.
Une autre équipe peut elle commencer à rêver d’un exploit. Après trois matchs nuls (face au Gaz Metan, mais surtout au Petrolul puis à l’Astra), l’Otelul Galati confirme son redressement en ‘emportant pour la première fois à l’extérieur cette saison. Une victoire qui n’est pas volée. Dès le début de match, Florin Cernat profite de la glissade d’un défenseur adverse pour décaler Cristian Cristea, qui tire sur la barre. Ce même Cristea oblige ensuite Calancea à se détendre sur une tête qui prenait le chemin de la lucarne. Face à une équipe du Ceahlaul totalement apathique, l’Otelul continue de pousser en seconde période. L’inévitable Cristea trouve de nouveau la transversale sur un lob absolument magnifique, puis parvient enfin à marquer après un non moins superbe travail de Cernat dans la défense adverse. Le Ceahlaul a oublié de jouer ce match, durant lequel il n’a aucun tir cadré. De son côté, l’Otelul lache la dernière place et peut pourquoi pas espérer de nouveau au maintien.
Dans un stade Ghencea vide, suite à la sanction infligée par la ligue, le Steaua n’a pas tremblé pour battre le FC Brasov. Pas grand chose à se mettre sous la dent en première mi-temps. Keserü tire bien sur la barre peu avant la demi-heure de jeu, mais il faut attendre la toute fin de cette période pour voir la plus grosse occasion, lorsque Machado manque de marquer contre son camp. Marinescu effectue un bel arrêt réflexe. Les deux équipes sont à égalité à la pause, mais il ne faut pas attendre bien longtemps pour voir un but. Sept secondes pour être exact! Dès le coup d’envoi, Sânmartean envoie un long ballon dans la surface, où Adi Popa profite d’une mésentente entre le gardien et son défenseur pour les devancer et marquer dans le but vide. Sept secondes et le match est plié. Brasov est toujours aussi absent. Il faut toutefois attendre encore une demi-heure pour voir Chipciu doubler la mise. Au final, le Steaua fait un match moyen mais s’impose.
Suite des événements avec un dimanche complètement fou! Comme j’en parlais sur le Twitter de PF hier (yes, we are twittingue!), les trois matchs du dimanche ont offert leur petit lot d’insolite. J’ai un peu tardé à faire les résumés, mais vu que personne ne lit, c’est pas bien grave…
On commence avec le match qui opposait les Pandurii à Botosani. Un match résumé en un seul mot: ghinion (malchance)! Rien n’a souri aux Pandurii. Ces derniers perdent un match qu’ils ont copieusement dominé, avec 31 tirs à 8! Malheureusement, ils ne parviennent pas à marquer alors que Botosani plante quasiment à chaque tir cadré. Stanca ne fait qu’un seul arrêt du match, mais prend deux buts.
La malchance est à son comble à la 38e minute de jeu. Alors que les visiteurs mènent au score, l’arbitre accorde un penalty aux Pandurii. Grosse protestation des joueurs de Botosani… qui obtiennent raison! Après moults tergiversations et discussion avec son assesseur, M. Cojocaru change d’avis et annule le penalty. Si le ralenti lui donne parfaitement raison (il n’y a ni main de Ngadeu ni faute sur Da Silva), voir un arbitre revenir sur sa décision dans ce genre de moment, il faut avouer que c’est assez rare pour être souligné!
Cet épisode provoque en tout cas pas mal de tension. Grozavu, l’entraîneur de Botosani, est d’ailleurs expulsé du banc peu avant la mi-temps. Après la pause, Da Silva parvient (enfin!) à marquer, sur corner, mais la poisse poursuit son équipe, qui encaisse un deuxième but sur penalty, suite à une faute de Pleasca sur Ivanovic. La faute est bien réelle cette fois-ci et M. Cojocaru maintient sa décision. La coupe est pleine…
Le club coule, l’entraîneur s’en va, mais les joueurs font le boulot! Face à une équipe de Iasi toujours aussi faible, et privée de Wesley, il ne faut que cinq minutes aux Transylvains pour ouvrir le score. Le CFR déroule ensuite, pour s’imposer facilement, et avec la manière.
Mais le plus important est ce qu’il se passe en dehors du terrain. L’équipe reste deuxième du classement, mais son avenir est bien sombre. Arpad Paszkany a déclaré aujourd’hui au journal Adevarul qu’il n’en avait plus rien à faire. A défaut d’un repreneur, le club n’aura donc pas de quoi payer ses joueurs. Ces derniers ont promis de faire le boulot jusqu’à la trêve. Il pourront ensuite demander à être libérés de leurs contrats cet hiver, les retards de paiement dépassant les trois mois réglementaires. La phase retour risque donc d’être compliquée pour le CFR, qui devrait ensuite être relégué en L2 à cause de ses dettes.
Sa suspension levée, Gabi Muresan a retrouvé le chemin des terrains. Pas à la joie de tout le monde. Le commentateur du match, en signe de protestation contre cette décision de la commission d’appel, a ainsi refusé de dire son nom à l’antenne! Il l’a ainsi appelé « le joueur portant le numéro 6″ durant tout le match. Un grand moment!
Sur le terrain, Târgu-Mures a bu la tasse. Le Petrolul joue vite et bien, et ouvre le score dès la premier quart d’heure par Juan Albin. Cinq minutes plus tard, Geraldo Alves devance Stancioiu, mal sorti, et double la mise sur corner. Dès la 20e minute de jeu, le match est plié. Il faut attendre la seconde période pour voir les visiteurs être dangereux. Pustai fait sortir les jeunes Bumba et Axente pour faire entrer Zicu et Voiculet, deux joueurs expérimentés moins rapides mais qui temporisent et tiennent mieux le ballon. Une adaptation qui permet à Târgu-Mures de mieux tenir le jeu. Sans succès cependant, et Zicu aurait même dû être expulsé pour une vilaine semelle sur Alves en fin de match. Dans une belle ambiance, malgré des virages à huis clos, le Petrolul joue un très bon football et reste à six points du leader, dans le sillage du CFR. Voilà qui va rendre la prochaine journée fort intéressante, avec un Dinamo-Petrolul couplé à un Târgu-Mures-Astra qui peuvent rapporter gros!
Et pendant ce temps, Craiova bat le Rapid 2-0. Un match entre la fausse équipe de Craiova et le Rapid, deux équipes que je n’apprécie pas. J’ai pas pu regarder. Le but marqué par Bawab dans les arrêts de jeu vaut tout de même le détour. Un magnifique double contact suivi d’un lob millimétré. La classe internationale! C’est visible sur le Twitter de PF. Le résultat final est lui logique, et le CS U aligne son 9e match consécutif sans défaite. De quoi commencer à rêver d’Europe.
Le classement:
1. Steaua…………..37 pts
————————–Qualifié en C1 (2e tour préliminaire)
2. CFR Cluj…………..32
3. Petrolul…………..31
4. Astra…………..26
————————–Qualifiés en C3 (2e tour préliminaire)
5. Târgu Mures…………..26
6. Dinamo…………..25
7. CS U Craiova…………..25
8. FC Botosani…………..24
9. FC Brasov…………..19
10. Viitorul…………..18
11. Pandurii…………..15
12. Gaz Metan…………..15
————————–Relégués en L2
13. U Cluj………….14
14. Ceahlaul…………..14
15. Concordia Chiajna…………..13
16. Otelul…………..11
17. Rapid…………..10
18. Iasi…………..9
Coup de tonnerre à Ploiesti ce matin. Des agents du DIICOT (Direction des enquêtes sur les infractions liées au crime organisé et au terrorisme) sont venus faire des perquisitions au siège du Petrolul. Plusieurs membres du conseil d’administration du club (les noms n’ont pas été dévoilés) sont soupçonnés de fraude fiscale et blanchiment d’argent, pour un préjudice estimé à plus de 15 millions d’euros!
Selon les enquêteurs, les suspects auraient commencé en 2012 à émettre des fausses factures de leurs entreprises personnelles envers le club. Cette fraude fiscale (à la TVA et sur les impôts sur le revenu) leur permettait de réinvestir les sommes « gagnées » dans le club. On n’a pas plus d’informations pour le moment.
Plus les heures passent et plus l’avenir s’assombrit à Ploiesti. 24 heures après l’interpellation de Dan Capra, on parle déjà de nombreux départs au club. Le Petroul compte en effet pas mal de joueurs dans leur dernière année de contrat. Avec les interpellations de ses dirigeants, le club se retrouve pour le moment dans l’impossibilité de leur proposer une prolongation de contrat, ce qui pourrait signifier leur départ l’été prochain, voire dès cet hiver s’il fallait récupérer de l’argent. Et les joueurs concernés ne sont pas des moindres: le gardien Peçanha, le capitaine Geraldo Alves, Alcenat, Juan Albin, Priso, Mustivar et Filipe Teixeira sont donnés partant à 99%.
Mais les problèmes de s’arrêtent pas là. Car la société propriétaire du stade Ilie Oana réclame maintenant 250 000 d’arriérés, correspondant aux loyers impayés de cette année. Cette société réclame évidemment le versement des loyers, et priver le club de son stade dans le cas contraire. Le Petrolul pourrait alors être mis en faillite, comme le Dinamo, le Rapid ou l’U Cluj l’on été récemment, afin de tenter de rétablir la situation. Capra n’avait apparemment pas les moyens de tenir ce club à bout de bras…
Bien sur que si, quelqu’un lit
J’attend avec impatience ce que vont donner le cas du Petrolul et du CFR, et je compte sur toi PJ pour nous retranscrire tout ça
Ce serait vraiment dommage que ces deux clubs « disparaissent »… Même si le CFR Cluj n’est rien d’autre qu’un club crée de toute pièce quelques années plus tôt, le fait est que même en temps de grave crise, les joueurs ( qui n’étaient pour moi que des mercenaires ) continuent de se battre et occupent une jolie et inattendue 2e place, avec la manière, et le Petrolul… et son stade lui aussi flambant neuf, ses supporters incroyables, son beau jeu et sa belle équipe mine de rien…
Deux gros clubs qui disparaissent serait une catastrophe inimaginable ! Entre l’U Craiova en 2e division, le Rapid dans des difficultés pas possible lui aussi qui va vite retrouvé la L2, le Dinamo en difficulté financière lui aussi… qui malgré un retour aux valeurs ( formation… ) fondamentales ne tient pas la distance, le Poli Timisoara disparu, maintenant ce serait au tour de deux autres « géants » de disparaitre, les clubs Roumains tombent comme des mouches… un championnat Roumain sans tout ces clubs là, c’est comme un championnat Français sans Marseille, Bordeaux, Nantes, PSG et Monaco… c’est impensable, à quand le tour du Steaua ?! Tout va si vite….